Tous les rapports
Les rapports du KCE sont disponibles sous différents formats et langues. Présentations et langue des rapports
- (-) Remove Evaluation des technologies de santé filter Evaluation des technologies de santé (15)
- (-) Remove Cancer filter Cancer (15)
- Gynécologie, grossesse et accouchements (2) Apply Gynécologie, grossesse et accouchements filter
- Imagerie médicale (1) Apply Imagerie médicale filter
- Médicaments (1) Apply Médicaments filter
- Pédiatrie (1) Apply Pédiatrie filter
- Prévention, dépistage et vaccination (5) Apply Prévention, dépistage et vaccination filter
- Système digestif (1) Apply Système digestif filter
- Tests de diagnostic biologiques et génétiques (3) Apply Tests de diagnostic biologiques et génétiques filter
- Urologie et maladies des reins (2) Apply Urologie et maladies des reins filter
-
Evaluation des certains nouveaux traitements du cancer de la prostate et de l’hypertrophie bénigne de la prostate
KCE Reports 89B (2008) Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) a étudié l’utilisation de plusieurs nouvelles techniques, à savoir : les ultrasons (HIFU) dans le traitement du cancer et les lasers dans le traitement des augmentations du volume de la prostate. Ces nouvelles techniques sont-elles aussi efficaces que les techniques classiques ? Entraînent-elles moins de risques et de complications ? Vu qu’il n’y a pas encore suffisamment de données disponibles, le KCE recommande de ne pas rembourser ces techniques pour le moment.
-
Hadronthérapie
KCE Reports 67B (2007) Le nombre de patients cancéreux qui pourraient bénéficier de l’hadronthérapie est trop faible pour justifier la création d’un centre en Belgique. C’est la conclusion que livre une récente étude du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE). La solution réside plutôt dans des accords avec des centres étrangers pour le traitement des patients belges.
-
Hadronthérapie chez l’enfant – Mise à jour des données probantes concernant 15 cancers pédiatriques
KCE Reports 235B (2015) La protonthérapie, une technique de radiothérapie ultra-précise, offre-t-elle plus d’avantages que la radiothérapie classique lorsqu’il s’agit de traiter des enfants ? Elle permet en effet de délivrer une dose de rayons moins élevée aux tissus entourant la tumeur, ce qui devrait diminuer le risque de nouveaux cancers et autres effets secondaires de l’irradiation. L’INAMI a demandé au Centre fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) de s’assurer que la technique donne de bons résultats chez les enfants.
-
Health Technology Assessment. Dépistage du cancer colorectal : connaissances scientifiques actuelles et impact budgétaire pour la Belgique
KCE Reports 45B (2006) Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) a examiné l’intérêt d’un dépistage généralisé du cancer colorectal chez les hommes et les femmes à partir de l’âge de 50 ans. Aujourd’hui, on dispose de preuves scientifiques suffisantes pour affirmer que la mortalité liée au cancer colorectal peut être réduite d’environ 15% grâce à un programme de dépistage basé sur la recherche de sang dans les selles.
-
L'antigène prostatique spécifique (PSA) dans le dépistage du cancer de la prostate
KCE Reports 31B (2006) L’utilisation du test PSA dans le dépistage est depuis longtemps sujette à controverses. La conclusion de l’évaluation de cette technologie de santé par le Centre Fédéral d’Expertise est sans équivoque : aussi longtemps qu’il n’existe pas de preuves permettant d’établir que le test fait plus de bien (moins de décès) qu’il ne fait de tort (effets secondaires de traitements inutiles comme l’impuissance et l’incontinence), le dépistage au moyen de ce test n’est pas défendable.
-
La protonthérapie chez l’adulte
KCE Reports 307B (2019) La protonthérapie est une technique de radiothérapie qui permet de délivrer des doses importantes de radiations sur des tumeurs cancéreuses sans (trop) « déborder » sur les tissus avoisinants. Il en a beaucoup été question ces dernières années, puisque deux projets de centres de protonthérapie sont en cours chez nous, l’un à Louvain et l’autre à Charleroi.
-
Le Bevacizumab dans le traitement du cancer de l’ovaire
KCE Reports 285B (2017) Le Bevacizumab (Avastin®) est un médicament utilisé en combinaison avec la chimiothérapie dans le cancer de l’ovaire. Le Centre fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) a réalisé une étude sur sa sécurité, son efficacité et son rapport coût-efficacité. Il en ressort que ce médicament permet de garder la tumeur plus longtemps sous contrôle, mais qu’il diminue la qualité de vie globale des patientes, du moins temporairement.
-
L’apport des tests de profilage moléculaire dans les décisions de chimiothérapie adjuvante en cas de cancer du sein – une évaluation rapide
KCE Reports 237B (2015) Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) publie aujourd’hui une étude sur les tests de profilage moléculaire. Ces tests, effectués sur les cellules tumorales du sein elles-mêmes, permettent d’identifier des caractéristiques moléculaires permettant de « typer » la tumeur en question, d’établir son pronostic et de d’adapter les traitements de façon quasi « personnalisée ». Lire plus...
-
Quel dépistage pour le cancer du col ?
KCE Reports 238B (2015) On sait aujourd’hui avec certitude qu’il existe un lien de cause à effet entre le cancer du col de l’utérus et la présence du papillomavirus (HPV), transmis par voie sexuelle. Le KCE (Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé) a établi, en collaboration avec l’Institut scientifique de Santé Publique et le Registre du Cancer, qu’un dépistage basé sur la détection de la présence du virus serait plus efficace que l’actuel frottis (aussi appelé Pap-test) pour protéger les femmes de plus de 30 ans, et ceci à un coût moins élevé.
-
Quel rôle pour le test Mammaprint® dans les décisions de chimiothérapie adjuvante en cas de cancer du sein au stade précoce ?
KCE Reports 298B (2018) Le cancer du sein reste le cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les femmes en Belgique et dans le monde. Tant que ce cancer est au stade précoce, le traitement est essentiellement locorégional, c’est-à-dire par chirurgie seule ou combinée à la radiothérapie. En théorie, ce traitement suffit à éradiquer la tumeur puisqu’elle est encore limitée.
-
Reconstruction du sein après un cancer : quels honoraires seraient raisonnables ?
KCE Reports 251B (2015) Entre 14 et 20 % des femmes qui ont été opérées pour un cancer du sein font le choix d’une chirurgie reconstructrice, qui est en théorie couverte par l’assurance maladie. Ces dernières années, bon nombre de femmes se sont plaintes d’avoir dû payer de leur propre poche des « suppléments esthétiques » parfois importants, notamment pour les reconstructions autologues (qui visent à reconstruire le sein à l’aide de peau, de muscle et/ou de graisse prélevés sur la patiente elle-même).
-
Techniques innovantes en radiothérapie : une étude multicentrique d’évaluation du cout via la méthode ABC pilotée par le temps
KCE Reports 198B (2013) De nouvelles techniques dans le traitement du cancer, telles que la radiothérapie stéréotaxique ou l’irradiation partielle accélérée du sein, permettent de raccourcir la durée totale d’irradiation. Nous ne savons cependant pas encore pour quels patients ces techniques seraient éventuellement meilleures que la radiothérapie conventionnelle, ni à quel cout. Il est encore trop tôt pour envisager un remboursement de ces techniques par l'assurance maladie, mais les exclure totalement n'est pas non plus une option.
-
Tests de Panels de gènes par Next Generation Sequencing pour un traitement ciblé en oncologie et en hémato-oncologie
KCE Reports 240B (2015) Les nouveaux traitements ‘sur mesure’ du cancer, qui ciblent des étapes très précises du processus tumoral, présentent certains avantages par rapport à la chimiothérapie classique et ‘aveugle’. Mais il y a une condition préalable : identifier les patients chez qui ils seront efficaces. C’est le rôle des tests appelés ‘diagnostics compagnons’.
-
Trastuzumab pour les stades précoces du cancer du sein
KCE Reports 34B (2006) Le KCE a mené une analyse de coût-efficacité et d’impact budgétaire consacrée à l’Herceptin dans le traitement du cancer du sein aux stades précoces. Ceci constitue une avancée thérapeutique pour 500 à 860 malades par an. L’addition peut grimper à 36 millions d’euro par an. Le KCE s’étonne qu’il n’y ait aucune comparaison avec un traitement beaucoup plus court et si possible plus sûr.
-
Vaccination HPV pour la prévention du cancer du col de l’utérus en Belgique: Health Technology Assessment
KCE Reports 64B (2007) Le cancer du col de l’utérus est causé par un virus, le papillomavirus humain (HPV). Deux vaccins contre ce virus sont disponibles actuellement. Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) a examiné l’efficacité et le rapport coût-efficacité de ces vaccins, ainsi que leur impact sur le budget de l’assurance maladie. Le KCE considère que ces vaccins protègent efficacement contre certains types du virus HPV et que, selon les estimations, jusqu’à 50% des cancers du col de l’utérus pourraient être évités.