Tous les rapports
Les rapports du KCE sont disponibles sous différents formats et langues. Présentations et langue des rapports
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- Prévention, dépistage et vaccination (2) Apply Prévention, dépistage et vaccination filter
- (-) Remove Urologie et maladies des reins filter Urologie et maladies des reins (8)
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Cancer du rein chez l’adulte : diagnostic, traitement et suivi
KCE Reports 253B (2015) Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) publie un guide de pratique clinique sur le diagnostic, le traitement et le suivi du cancer du rein. Ce cancer relativement peu fréquent touche environ 1600 personnes par an en Belgique. Il est souvent découvert de manière fortuite car il ne présente pas de symptômes particuliers. Ses facteurs de risque sont le tabac, l’obésité et l’hypertension artérielle. Lire plus...
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Cancer de la vessie : guide de pratique clinique
KCE Reports 247B (2015) À la demande du Collège d’Oncologie et en collaboration avec celui-ci, le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) s’est attelé au développement de recommandations cliniques pour le diagnostic, le traitement et le suivi du cancer de la vessie.
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Recommandations nationales de bonne pratique pour la prise en charge du cancer localisé de la prostate : seconde partie
KCE Reports 226B (2014) Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) et le Collège d’Oncologie ont examiné les avancées les plus récentes en matière de traitement des cancers localisés, non métastasés, de la prostate. Un précédent rapport indiquait que, face aux formes les moins agressives de ce cancer, il ne fallait pas nécessairement intervenir tout de suite et que l’on pouvait se contenter de surveiller son évolution. Dans les formes à risque plus élevé, l’ablation de la prostate(prostatectomie) et la radiothérapie restent indiquées.
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Un outil d’aide à la décision en cas de demande d’un dépistage du cancer de la prostate par PSA
KCE Reports 224B (2014) Faut-il ou non se soumettre à un dépistage du cancer de la prostate ? La question tracasse bien des hommes à partir de 55 ans, même lorsqu’ils ne présentent aucun symptôme particulier. Pour les aider à prendre une décision bien informée, deux nouveaux outils ont été mis au point par le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) et par LUCAS KU Leuven (à la demande de la Vlaamse Liga tegen Kanker -VLK).
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Le processus décisionnel dans le choix pour la surveillance active du cancer localisé de la prostate
KCE Reports 210B (2013) Face à un cancer localisé de la prostate, on peut envisager de débuter la prise en charge par une surveillance active (SA).Dans ce cas, on vérifie régulièrement s’il y a progression du cancer et on démarre un traitement classique dès que la maladie évolue. La décision de ne pas éliminer d’emblée un cancer n’est toutefois jamais évidente.
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Recommandations nationales de bonne pratique pour la prise en charge du cancer localisé de la prostate : première partie
KCE Reports 194B (2013) Découvrir un cancer et ne pas le traiter immédiatement peut sembler irresponsable. Il est toutefois envisageable de placer dans un premier temps ce petit cancer bien localisé sous haute surveillance (en anglais : Active Surveillance). En effet, ce type de cancers évolue la plupart du temps lentement et les traitements classiques peuvent régulièrement s’accompagner d’effets secondaires sérieux, tels l’incontinence et les troubles sexuels.
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Evaluation des certains nouveaux traitements du cancer de la prostate et de l’hypertrophie bénigne de la prostate
KCE Reports 89B (2008) Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) a étudié l’utilisation de plusieurs nouvelles techniques, à savoir : les ultrasons (HIFU) dans le traitement du cancer et les lasers dans le traitement des augmentations du volume de la prostate. Ces nouvelles techniques sont-elles aussi efficaces que les techniques classiques ? Entraînent-elles moins de risques et de complications ? Vu qu’il n’y a pas encore suffisamment de données disponibles, le KCE recommande de ne pas rembourser ces techniques pour le moment.
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L'antigène prostatique spécifique (PSA) dans le dépistage du cancer de la prostate
KCE Reports 31B (2006) L’utilisation du test PSA dans le dépistage est depuis longtemps sujette à controverses. La conclusion de l’évaluation de cette technologie de santé par le Centre Fédéral d’Expertise est sans équivoque : aussi longtemps qu’il n’existe pas de preuves permettant d’établir que le test fait plus de bien (moins de décès) qu’il ne fait de tort (effets secondaires de traitements inutiles comme l’impuissance et l’incontinence), le dépistage au moyen de ce test n’est pas défendable.