Tous les rapports
Les rapports du KCE sont disponibles sous différents formats et langues. Présentations et langue des rapports
- (-) Remove Cancer filter Cancer (14)
- Gynécologie, grossesse et accouchements (5) Apply Gynécologie, grossesse et accouchements filter
- Imagerie médicale (1) Apply Imagerie médicale filter
- (-) Remove Prévention, dépistage et vaccination filter Prévention, dépistage et vaccination (14)
- Système digestif (1) Apply Système digestif filter
- Tests de diagnostic biologiques et génétiques (6) Apply Tests de diagnostic biologiques et génétiques filter
- Urologie et maladies des reins (2) Apply Urologie et maladies des reins filter
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Tests oncogénétiques, diagnostic et suivi des syndromes de Birt-Hogg-Dubé, FAMMM et de la neurofibromatose 1 et 2
KCE Reports 243B (2015) Ce rapport s’inscrit dans une série de quatre rapports sur les tests génétiques de prédisposition familiale aux cancers. Celui-ci porte sur quelques syndromes familiaux rares ayant en commun des manifestations dermatologiques et des cancers : le syndrome de Birt-Hogg-Dubé, le syndrome FAMMM et la neurofibromatose.
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Tests oncogénétiques pour personnes ayant une prédisposition héréditaire aux cancers endocriniens
KCE Reports 242B (2015) Ce rapport fait partie d’une série de quatre rapports consacrés aux tests génétiques prédictifs de cancers. Celui-ci porte sur les tests génétiques de prédisposition familiale aux cancers endocriniens (néoplasies endocriniennes multiples (MEN), maladie de von Hippel-Lindau, paragangliomes et phéochromocytomes).
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Quel dépistage pour le cancer du col ?
KCE Reports 238B (2015) On sait aujourd’hui avec certitude qu’il existe un lien de cause à effet entre le cancer du col de l’utérus et la présence du papillomavirus (HPV), transmis par voie sexuelle. Le KCE (Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé) a établi, en collaboration avec l’Institut scientifique de Santé Publique et le Registre du Cancer, qu’un dépistage basé sur la détection de la présence du virus serait plus efficace que l’actuel frottis (aussi appelé Pap-test) pour protéger les femmes de plus de 30 ans, et ceci à un coût moins élevé.
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L’apport des tests de profilage moléculaire dans les décisions de chimiothérapie adjuvante en cas de cancer du sein – une évaluation rapide
KCE Reports 237B (2015) Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) publie aujourd’hui une étude sur les tests de profilage moléculaire. Ces tests, effectués sur les cellules tumorales du sein elles-mêmes, permettent d’identifier des caractéristiques moléculaires permettant de « typer » la tumeur en question, d’établir son pronostic et de d’adapter les traitements de façon quasi « personnalisée ». Lire plus...
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Tests oncogénétiques et suivi des femmes atteintes d'une forme héréditaire de cancer du sein ou de l’ovaire, d'un syndrome de Li-Fraumeni ou d'un syndrome de Cowden
KCE Reports 236B (2015) Les liens entre génétique et cancer sont extrêmement étroits ; les découvertes scientifiques le confirment jour après jour. Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) publie aujourd’hui une étude sur les tests génétiques de prédisposition familiale ; elle propose des recommandations de pratique clinique à l’intention des centres de génétique, appelés à recevoir de plus en plus de femmes qui craignent d’avoir reçu – ou d’avoir transmis – un risque héréditaire. Lire plus...
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Un outil d’aide à la décision en cas de demande d’un dépistage du cancer de la prostate par PSA
KCE Reports 224B (2014) Faut-il ou non se soumettre à un dépistage du cancer de la prostate ? La question tracasse bien des hommes à partir de 55 ans, même lorsqu’ils ne présentent aucun symptôme particulier. Pour les aider à prendre une décision bien informée, deux nouveaux outils ont été mis au point par le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) et par LUCAS KU Leuven (à la demande de la Vlaamse Liga tegen Kanker -VLK).
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Dépistage oncogénétique du syndrome de Lynch et de la polypose adénomateuse familiale
KCE Reports 220B (2014) Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) a rédigé en collaboration avec le Collège de Génétique et le Collège d’Oncologie des recommandations de bonne pratique pour la réalisation du dépistage oncogénétique du cancer colorectal. Elles décrivent la procédure de sélection des patients qui présentent un risque élevé d’être atteints d’un cancer colorectal héréditaire, et plus précisément d’un syndrome de Lynch ou d’une polypose adénomateuse familiale (PAF).
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Dépistage du cancer du sein: messages en support d’un choix informé
KCE Reports 216B (2014) Vais-je me soumettre à un examen de dépistage du cancer du sein ou non ? Cela améliorera-t-il mes chances de survie ? Ce dépistage ne présente-t-il pas aussi des inconvénients ? Que se passe-t-il si une anomalie est découverte ? Ce sont là quelques-unes des questions que les femmes peuvent se poser lorsqu’un dépistage leur est proposé. Afin de pouvoir choisir en connaissance de cause, toute femme doit avoir reçu une information claire et exhaustive sur les avantages et les inconvénients de se faire dépister ou non.
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Dépistage du cancer du sein entre 70 et 74 ans
KCE Reports 176B (2012) Les femmes belges âgées de 50 à 69 ans, sont actuellement invitées à participer gratuitement au dépistage du cancer du sein. L’augmentation de l’espérance de vie pose la question de l’extension de ce dépistage organisé à la tranche d’âge de 70 à 74 ans. Quatre Etats membres de l’Union européenne organisent actuellement ce dépistage : la France, les Pays-Bas, l’Espagne et la Suède.
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Dépistage du cancer du sein : comment identifier les femmes exposées à un risque accru - Quelles techniques d'imagerie utiliser ?
KCE Reports 172B (2012) En Belgique, toutes les femmes âgées de 50 à 69 ans sont invitées tous les 2 ans par les autorités à un examen du sein par mammographie. Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) avait conclu en 2010 (KCE Report 129) qu'il n'était pas opportun d’étendre ce dépistage organisé du cancer du sein aux femmes dès l’âge de 40 ans. Pour les femmes exposées à un risque accru, un dépistage plus précoce peut être envisagé.
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Vaccination HPV pour la prévention du cancer du col de l’utérus en Belgique: Health Technology Assessment
KCE Reports 64B (2007) Le cancer du col de l’utérus est causé par un virus, le papillomavirus humain (HPV). Deux vaccins contre ce virus sont disponibles actuellement. Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) a examiné l’efficacité et le rapport coût-efficacité de ces vaccins, ainsi que leur impact sur le budget de l’assurance maladie. Le KCE considère que ces vaccins protègent efficacement contre certains types du virus HPV et que, selon les estimations, jusqu’à 50% des cancers du col de l’utérus pourraient être évités.
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Health Technology Assessment. Dépistage du cancer colorectal : connaissances scientifiques actuelles et impact budgétaire pour la Belgique
KCE Reports 45B (2006) Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) a examiné l’intérêt d’un dépistage généralisé du cancer colorectal chez les hommes et les femmes à partir de l’âge de 50 ans. Aujourd’hui, on dispose de preuves scientifiques suffisantes pour affirmer que la mortalité liée au cancer colorectal peut être réduite d’environ 15% grâce à un programme de dépistage basé sur la recherche de sang dans les selles.
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L'antigène prostatique spécifique (PSA) dans le dépistage du cancer de la prostate
KCE Reports 31B (2006) L’utilisation du test PSA dans le dépistage est depuis longtemps sujette à controverses. La conclusion de l’évaluation de cette technologie de santé par le Centre Fédéral d’Expertise est sans équivoque : aussi longtemps qu’il n’existe pas de preuves permettant d’établir que le test fait plus de bien (moins de décès) qu’il ne fait de tort (effets secondaires de traitements inutiles comme l’impuissance et l’incontinence), le dépistage au moyen de ce test n’est pas défendable.
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Dépistage du cancer du sein.
KCE Reports 11B (2005) Le dépistage du cancer du sein par examen radiologique (mammographie) a pour objectif de prévenir les décès, plus fréquents lorsque le cancer a eu le temps de se propager. Comme toute intervention médicale, cet examen comporte aussi des inconvénients. Pour optimaliser les effets du dépistage, il est nécessaire ses inconvénients soient minimalisés autant que possible.