Tous les rapports
Les rapports du KCE sont disponibles sous différents formats et langues. Présentations et langue des rapports
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Recommandations nationales de bonne pratique pour la prise en charge du cancer localisé de la prostate : seconde partie
KCE Reports 226B (2014) Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) et le Collège d’Oncologie ont examiné les avancées les plus récentes en matière de traitement des cancers localisés, non métastasés, de la prostate. Un précédent rapport indiquait que, face aux formes les moins agressives de ce cancer, il ne fallait pas nécessairement intervenir tout de suite et que l’on pouvait se contenter de surveiller son évolution. Dans les formes à risque plus élevé, l’ablation de la prostate(prostatectomie) et la radiothérapie restent indiquées.
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Un outil d’aide à la décision en cas de demande d’un dépistage du cancer de la prostate par PSA
KCE Reports 224B (2014) Faut-il ou non se soumettre à un dépistage du cancer de la prostate ? La question tracasse bien des hommes à partir de 55 ans, même lorsqu’ils ne présentent aucun symptôme particulier. Pour les aider à prendre une décision bien informée, deux nouveaux outils ont été mis au point par le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) et par LUCAS KU Leuven (à la demande de la Vlaamse Liga tegen Kanker -VLK).
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Evaluation des certains nouveaux traitements du cancer de la prostate et de l’hypertrophie bénigne de la prostate
KCE Reports 89B (2008) Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) a étudié l’utilisation de plusieurs nouvelles techniques, à savoir : les ultrasons (HIFU) dans le traitement du cancer et les lasers dans le traitement des augmentations du volume de la prostate. Ces nouvelles techniques sont-elles aussi efficaces que les techniques classiques ? Entraînent-elles moins de risques et de complications ? Vu qu’il n’y a pas encore suffisamment de données disponibles, le KCE recommande de ne pas rembourser ces techniques pour le moment.
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L'antigène prostatique spécifique (PSA) dans le dépistage du cancer de la prostate
KCE Reports 31B (2006) L’utilisation du test PSA dans le dépistage est depuis longtemps sujette à controverses. La conclusion de l’évaluation de cette technologie de santé par le Centre Fédéral d’Expertise est sans équivoque : aussi longtemps qu’il n’existe pas de preuves permettant d’établir que le test fait plus de bien (moins de décès) qu’il ne fait de tort (effets secondaires de traitements inutiles comme l’impuissance et l’incontinence), le dépistage au moyen de ce test n’est pas défendable.