Tous les rapports
Les rapports du KCE sont disponibles sous différents formats et langues. Présentations et langue des rapports
- (-) Remove Coeur et vaisseaux sanguins filter Coeur et vaisseaux sanguins (3)
- Hématologie et transfusion (1) Apply Hématologie et transfusion filter
- Prévention, dépistage et vaccination (1) Apply Prévention, dépistage et vaccination filter
- Tests de diagnostic biologiques et génétiques (1) Apply Tests de diagnostic biologiques et génétiques filter
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Anticoagulation et fibrillation auriculaire
KCE Reports 279B (2016) Les anticoagulants sont des médicaments qui sont prescrits, entre autres, aux personnes atteintes d’un trouble du rythme cardiaque appelé fibrillation auriculaire, pour diminuer leur risque d’accident vasculaire cérébral (AVC). Depuis quelques années, de « nouveaux anticoagulants oraux » ou NOAC sont arrivés sur le marché. Leur usage est plus pratique que celui des « anciens » puisqu’ils ne nécessitent plus de prises de sang de contrôle tous les mois.
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Utilité des marqueurs d’athérosclérose dans la prédiction du risque d’accident cardiovasculaire
KCE Reports 244B (2015) Les médecins tiennent à l’œil notre risque cardiovasculaire grâce à un outil appelé SCORE, qui leur permet de calculer, sur base notamment de la consommation de tabac, du taux de cholestérol et de la tension artérielle, notre risque de décéder dans les 10 ans d’un problème cardiovasculaire. Mais cet outil n’est pas parfait, et les chercheurs tentent de l’affiner en y ajoutant des tests pour détecter l’existence d’une athérosclérose silencieuse. Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) a analysé l’efficacité de six de ces tests.
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Nouveaux biomarqueurs pour estimer le risque cardiovasculaire
KCE Reports 201B (2013) Les biomarqueurs sont des substances présentes dans l’organisme qui sont susceptibles d’annoncer une pathologie donnée (comme par exemple le glucose pour le diabète). Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) a cherché à déterminer si la mesure de certains biomarqueurs « traditionnels » ou plus récents pouvait contribuer à prédire le risque cardiovasculaire, mais sans parvenir à trouver des preuves suffisantes à l’appui de cette hypothèse.