Tous les rapports
Les rapports du KCE sont disponibles sous différents formats et langues. Présentations et langue des rapports
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Entorse de la cheville : diagnostic et traitement
KCE Reports 197B (2013) L’entorse de la cheville est couramment suivie d’une radiographie qui vise à rechercher l’existence éventuelle d’une fracture. Pourtant, un examen clinique basé sur les règles d’Ottawa permet d’exclure la présence d’une fracture d’un des os de la cheville. Grâce à ces règles, une radiographie n’est nécessaire que lorsque l’examen clinique donne un résultat suspect. L’utilité de la prise en charge « classique » combinant le repos, la glace, la compression et l’élévation de la cheville, n’est démontrée par aucune étude de bonne qualité.
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La performance du système de santé Belge. Rapport 2012
KCE Reports 196B (2013) Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE), en collaboration avec l’INAMI et l’ISP (Institut Scientifique de Santé Publique) a étudié la performance du système de santé belge. Les résultats ont été comparés avec ceux de 14 autres pays européens. De nombreux points positifs sont à relever, tels que le taux de vaccination chez les enfants, la survie à 5 ans après un cancer du sein ou du côlon, la relation avec le médecin généraliste, l’utilisation croissante des médicaments bon marché, etc.
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Le processus décisionnel dans le choix pour la surveillance active du cancer localisé de la prostate
KCE Reports 210B (2013) Face à un cancer localisé de la prostate, on peut envisager de débuter la prise en charge par une surveillance active (SA).Dans ce cas, on vérifie régulièrement s’il y a progression du cancer et on démarre un traitement classique dès que la maladie évolue. La décision de ne pas éliminer d’emblée un cancer n’est toutefois jamais évidente.
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Recommandations nationales de bonne pratique pour la prise en charge du cancer localisé de la prostate : première partie
KCE Reports 194B (2013) Découvrir un cancer et ne pas le traiter immédiatement peut sembler irresponsable. Il est toutefois envisageable de placer dans un premier temps ce petit cancer bien localisé sous haute surveillance (en anglais : Active Surveillance). En effet, ce type de cancers évolue la plupart du temps lentement et les traitements classiques peuvent régulièrement s’accompagner d’effets secondaires sérieux, tels l’incontinence et les troubles sexuels.